François

François
travaille Seul

Adhérent depuis
2018

Basé à Espalion
(Aveyron)

Il s’agit pour ma part d’une reconversion professionnelle. Ayant toujours voulu être à mon compte, je voulais « produire quelque chose de mes mains ». Je voulais que ce soit également au plus proche de la Nature.
J’ai commencé l’apiculture « de manière » sérieuse en mars 2017 comme salarié apicole pour la saison. J’ai démarré mon exploitation au 01 décembre 2017. En 2018, j’ai continué à être salarié apicole à temps partiel tout en ayant entre 100 et 150 ruches à moi. Fin 2018, je suis rentré à la Coopérative Les Compagnons du Miel et ce n’est qu’à partir de 2019 que j’étais présent à 100 % sur mon exploitation avec toujours cette pluriactivité qui est dans un autre domaine.

Comment et pourquoi êtes-vous devenu membre de la Coopérative ?

J’ai côtoyé pendant de nombreuses années des apiculteurs de ma région adhérents la Coopérative Les Compagnons du Miel. Les apiculteurs chez qui j’ai travaillé en 2017 et en 2018 étaient eux même adhérent à la Coopérative. Tous les échanges que j’ai alors pu avoir avec eux ainsi que leur façon de travailler m’ont amené tout naturellement à vouloir intégrer la Coopérative.

Quel sont pour vous les défis majeurs que doivent relever les apiculteurs pour les prochaines années ?

Essayer absolument de maintenir à minima et si possible faire en sorte que la population d’abeilles augmente. N’ayant pas encore une très grande expérience dans l’apiculture ainsi que de son évolution sur les 20 dernières années, je constate néanmoins que depuis 5 ans les contraintes liées au climat, aux maladies et aux prédateurs amènent une grande inquiétude pour ma part et qu’il faudra sans cesse s’y adapter pour pouvoir continuer à exercer ce métier et à en vivre.

Découvrez la Coopérative les Compagnons du Miel

Un petit message pour vous

Le même que celui que j’essaye de leur faire passer lors des dernières journées d’animation commerciale pour les Compagnons du Miel dans une grande surface : en tant que producteurs de miels Français, nous avons besoin de leur soutien pour continuer à exercer notre métier et à en vivre. Et ce, d’autant plus que nous avons fait le choix d’être producteur de miel en respectant un cahier des charges et une charte de qualité.

Et pourquoi ?

En tant que producteur entre autre de miel de Châtaignier, j’ai eu préférence pour celui-ci avec son caractère bien marqué, et ayant eu l’occasion de découvrir le Sapin, j’avoue que ce dernier me plaît également.

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